Jabo sur la Tunisie - Mission 2
Publié : 11 avr. 2021, 16:56
Fin de l'épopée Allemande en Afrique...
Le 7 Mai 1943, le II./Sch.G.2 opéra autour de Tunis, aidant à réduire le calvaire des défenseurs Allemands et Italiens. Un total de 33 sorties attaques sol et bombardement fut réalisé ce jour.
Cibles potentielles :
- Convois terrestres d'approvisionnement convergent sur Tunis par les routes Nord et Est.
- Concentration de pièces d'artillerie sur un rayon de 2km autour de Tunis (secteur de Nord à Ouest).
Route : Par la mer ou littoral Nord de la péninsule. Ne pas survoler la zone Sud de la péninsule.
Pantelleria piste 03 en service, seuil de piste à droite du fut d'essence en feu.
Aérodrome de secours en 6-AntonIda 20, piste 13 en service, seuil de piste à droite du fut d'essence en feu.
Concentration de Flak Amie en AntonGustav 20.
16h00, la météo est mauvaise avec une visibilité réduite, plafond Hanni10, vent 10km/h vektor90.
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Contexte historique :
Peu avant la fin de l'Afrique du Nord, nos aérodromes furent bombardés, en moyenne, 3 fois par jour. Pour éviter des pertes, une dispersion élargie des appareils sur les aérodromes ne fut pas longtemps efficace et une alternative avec d'autres pistes dû être exploitée. En Tunisie, nous apprécions un étalement sur 4 à 5 petites pistes disposées autour un poste d'opération à une distance d'un ou deux km. Ces pistes étaient liées au post opération par une ligne de téléphone ou un contact visuel direct. Suite à chaque mission une piste différente était utilisée. Durant les missions, le personnel au sol attendait dans une zone de parking et suite à l'atterrissage, ils déplaçaient le tout avec bombes munitions et carburant sur une autre piste. Les appareils plus opérationnels étaient déplacés pour créer un décor à l'aérodrome. Avec ce changement continuel de pistes, ce type d'aérodrome avaient des inconvénients : Travail excessif aux personnels, nécessité d'avoir des équipements de communications au sol, augmentation du délais entre chaque sortie.
L'avantage, bien sur, était les faibles pertes grâce à la dispersion des équipements et personnels. Nous eurent très peu de pertes en appareils et personnel en dépit du harcèlement continue des appareils ennemis.
Le 7 Mai 1943, le II./Sch.G.2 opéra autour de Tunis, aidant à réduire le calvaire des défenseurs Allemands et Italiens. Un total de 33 sorties attaques sol et bombardement fut réalisé ce jour.
Cibles potentielles :
- Convois terrestres d'approvisionnement convergent sur Tunis par les routes Nord et Est.
- Concentration de pièces d'artillerie sur un rayon de 2km autour de Tunis (secteur de Nord à Ouest).
Route : Par la mer ou littoral Nord de la péninsule. Ne pas survoler la zone Sud de la péninsule.
Pantelleria piste 03 en service, seuil de piste à droite du fut d'essence en feu.
Aérodrome de secours en 6-AntonIda 20, piste 13 en service, seuil de piste à droite du fut d'essence en feu.
Concentration de Flak Amie en AntonGustav 20.
16h00, la météo est mauvaise avec une visibilité réduite, plafond Hanni10, vent 10km/h vektor90.
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Contexte historique :
Peu avant la fin de l'Afrique du Nord, nos aérodromes furent bombardés, en moyenne, 3 fois par jour. Pour éviter des pertes, une dispersion élargie des appareils sur les aérodromes ne fut pas longtemps efficace et une alternative avec d'autres pistes dû être exploitée. En Tunisie, nous apprécions un étalement sur 4 à 5 petites pistes disposées autour un poste d'opération à une distance d'un ou deux km. Ces pistes étaient liées au post opération par une ligne de téléphone ou un contact visuel direct. Suite à chaque mission une piste différente était utilisée. Durant les missions, le personnel au sol attendait dans une zone de parking et suite à l'atterrissage, ils déplaçaient le tout avec bombes munitions et carburant sur une autre piste. Les appareils plus opérationnels étaient déplacés pour créer un décor à l'aérodrome. Avec ce changement continuel de pistes, ce type d'aérodrome avaient des inconvénients : Travail excessif aux personnels, nécessité d'avoir des équipements de communications au sol, augmentation du délais entre chaque sortie.
L'avantage, bien sur, était les faibles pertes grâce à la dispersion des équipements et personnels. Nous eurent très peu de pertes en appareils et personnel en dépit du harcèlement continue des appareils ennemis.