DCS - Missions Spitfire
Publié : 04 janv. 2020, 11:41
Hello Tous , vous allez bien ?
Comme je vous l'avais annoncé il y aura bientôt un an, j'ai poursuivi mon apprentissage de l'éditeur de mission sur un thème spécifique: Normandie, au début de l’utilisation des Advanced Landing Ground.
https://www.forgottenairfields.com/airf ... -1098.html
J'ai cherché à me coller sur un environnement historique à la date du 12Juin 1944.
Aujourd'hui je considère ce sujet comme traité avec une série de 6 missions.
Bientôt, je les rendrai dispo à la communauté en version SP et version MP contre l'AI.
Rapidement quelques brèves info sur ces 6 missions:
(Nom / Type de mission / Météo)
Entre autres, chacune de ces missions ont un briefing détaillé avec cartes, 2 kneeboards, des messages radio, des canaux radio affectés ...
Contexte historique de ce pack:
144 Wing - 441 Squadron (RCAF)
Nous avons l’honneur de faire partie des premiers Squadrons de la RAF à se poser en Normandie sur ces nouvelles et premières Advanced Landing Ground (ALG) de la RAF, la B2 et la B3. Nous retournerons ce soir en Angleterre pour revenir à l’aurore.
A notre arrivée sur la ALG B3, nous retrouvons des Canadiens, et quelle surprise avec cette poussière blanche et fine s’infiltrant de partout. Dans un rayon de 500yards autour du landing strip la verdure a disparu, la végétation est recouverte d’une couche épaisse que la moindre bise soulève.
Ici, sur la ALG B3 de Sainte Croix, nous sommes dans l’ambiance des combats terrestres. Avant notre départ, nous avons été prévenus. Nous pouvons être sous le feu de l’ennemi. Nous sommes à portée des canons de 88 Allemands, et de tireurs isolés. Le voir est une autre chose ! Dès notre arrivée, nous sentons une ambiance tendue, sur le qui-vive, près à sauter dans la moindre tranchée au premier signe de danger. Notre strip est littéralement truffé de canons Bofors, la quantité de douille autour des pièces parle d’elle-même. Dans les alentours de nombreuses zones sont marquées comme minées, mais tout n’est pas identifié. En opposition à nos tentations, on nous déconseille fortement de nous éloigner. Les traces de combats sont encore bien présentes … des carcasses de blindés, des cratères, des odeurs nauséabondes signalant des restes humains font partis du décor environnant. Ceux qui sont affectés en permanence sur ces ALG semblent déjà bien marqués par des nuits sans sommeil et la tension omniprésente. Du personnel a déjà été rapatrié et certains ont déjà été victime des tirs ennemis et des mines. La précédente nuit des Ju88 ont bombardé l’aérodrome l’ALG B2 de Bazenville, toute proche.
Cela fait une semaine que nos troupes ont débarqué, la tête de pont est établie.
Sur le secteur Britannique, bien que l’objectif du jour J ait été la ville de Caen, nos troupes ne parviennent toujours pas à enfoncer les lignes de défenses ennemies au Nord de Caen.
Le secteur de Caen est crucial, la ville est la porte qui ouvre sur la vaste plaine de l’arrière-pays qui s’étend jusqu’à Paris, terrain propice à la guerre de mouvement et favorable aux formations blindées.
Suite aux échecs des attaques frontales sur ces lignes de défense, les opérations d’encerclement de la ville sont engagées. L’aile droite par Bayeux et la gauche par la tête de pont à l’Est de l’Orne.
Ces manœuvres de flanquement de ‘’Monty’’ se heurte à une division d’élite blindée de la Wehrmancht : La Panzer Lehr. Cette dernière est déployée sur le secteur de Tilly-sur-Seulles. Avec notre 50e division et notre 7e division blindée, les combats se concentrent autour de ce secteur sur un front de 17km. Des combats acharnés mettent aux prises nos unités blindées face à cette Panzer Lehr. Nos assauts bien appuyés par notre artillerie et notre puissante artillerie de marine ne parviennent pas à percer ces défenses. Nos assauts ont subi des pertes notables, les contre-attaques Allemandes sont nombreuses mais de faibles envergures et ont toutes été contenues.
Le village de Tilly-sur-Seulles est un verrou vers le Sud, il est fermement tenu par le Panzer Lehr Regiment 901. Des concentrations de blindées de la Lehr font craindre une contre-attaque massive. Ces dernières subissent d’importants bombardements et tirs d’artillerie.
La météo s’améliorant, l’aviation de bombardement et d’assaut peuvent reprendre pleinement leur tâche. Sous le harcèlement incessant de l’aviation Alliée, les Allemands ne se déplacent principalement que de nuit. Les missions s'enchainent depuis l'aube. Les appareils de retour sont tout juste reconditionnés, que déjà ils repartent pour de nouvelles missions.
A bientôt
Comme je vous l'avais annoncé il y aura bientôt un an, j'ai poursuivi mon apprentissage de l'éditeur de mission sur un thème spécifique: Normandie, au début de l’utilisation des Advanced Landing Ground.
https://www.forgottenairfields.com/airf ... -1098.html
J'ai cherché à me coller sur un environnement historique à la date du 12Juin 1944.
Aujourd'hui je considère ce sujet comme traité avec une série de 6 missions.
Bientôt, je les rendrai dispo à la communauté en version SP et version MP contre l'AI.
Rapidement quelques brèves info sur ces 6 missions:
(Nom / Type de mission / Météo)
- Renforts ennemis – Attaque sol objectif défini et fixe – Mauvaise visibilité
- Renforts ennemis, le retour - Attaque sol objectif défini et fixe – Mauvaise visibilité, pluie
- Reco-armée, le harcèlement – Recherche d’objectifs – Mauvaise visibilité
- Le pont restant - Attaque sol objectif défini et fixe – Bonne visibilité, un peu de vent de travers sur la piste
- Patrouille de couverture – Protection aérienne - Bonne visibilité, un peu de vent de travers sur la piste
- Dernier passage - Attaque sol objectif défini et fixe - Bonne visibilité, vent de travers sur la piste
Entre autres, chacune de ces missions ont un briefing détaillé avec cartes, 2 kneeboards, des messages radio, des canaux radio affectés ...
Contexte historique de ce pack:
144 Wing - 441 Squadron (RCAF)
Nous avons l’honneur de faire partie des premiers Squadrons de la RAF à se poser en Normandie sur ces nouvelles et premières Advanced Landing Ground (ALG) de la RAF, la B2 et la B3. Nous retournerons ce soir en Angleterre pour revenir à l’aurore.
A notre arrivée sur la ALG B3, nous retrouvons des Canadiens, et quelle surprise avec cette poussière blanche et fine s’infiltrant de partout. Dans un rayon de 500yards autour du landing strip la verdure a disparu, la végétation est recouverte d’une couche épaisse que la moindre bise soulève.
Ici, sur la ALG B3 de Sainte Croix, nous sommes dans l’ambiance des combats terrestres. Avant notre départ, nous avons été prévenus. Nous pouvons être sous le feu de l’ennemi. Nous sommes à portée des canons de 88 Allemands, et de tireurs isolés. Le voir est une autre chose ! Dès notre arrivée, nous sentons une ambiance tendue, sur le qui-vive, près à sauter dans la moindre tranchée au premier signe de danger. Notre strip est littéralement truffé de canons Bofors, la quantité de douille autour des pièces parle d’elle-même. Dans les alentours de nombreuses zones sont marquées comme minées, mais tout n’est pas identifié. En opposition à nos tentations, on nous déconseille fortement de nous éloigner. Les traces de combats sont encore bien présentes … des carcasses de blindés, des cratères, des odeurs nauséabondes signalant des restes humains font partis du décor environnant. Ceux qui sont affectés en permanence sur ces ALG semblent déjà bien marqués par des nuits sans sommeil et la tension omniprésente. Du personnel a déjà été rapatrié et certains ont déjà été victime des tirs ennemis et des mines. La précédente nuit des Ju88 ont bombardé l’aérodrome l’ALG B2 de Bazenville, toute proche.
Cela fait une semaine que nos troupes ont débarqué, la tête de pont est établie.
Sur le secteur Britannique, bien que l’objectif du jour J ait été la ville de Caen, nos troupes ne parviennent toujours pas à enfoncer les lignes de défenses ennemies au Nord de Caen.
Le secteur de Caen est crucial, la ville est la porte qui ouvre sur la vaste plaine de l’arrière-pays qui s’étend jusqu’à Paris, terrain propice à la guerre de mouvement et favorable aux formations blindées.
Suite aux échecs des attaques frontales sur ces lignes de défense, les opérations d’encerclement de la ville sont engagées. L’aile droite par Bayeux et la gauche par la tête de pont à l’Est de l’Orne.
Ces manœuvres de flanquement de ‘’Monty’’ se heurte à une division d’élite blindée de la Wehrmancht : La Panzer Lehr. Cette dernière est déployée sur le secteur de Tilly-sur-Seulles. Avec notre 50e division et notre 7e division blindée, les combats se concentrent autour de ce secteur sur un front de 17km. Des combats acharnés mettent aux prises nos unités blindées face à cette Panzer Lehr. Nos assauts bien appuyés par notre artillerie et notre puissante artillerie de marine ne parviennent pas à percer ces défenses. Nos assauts ont subi des pertes notables, les contre-attaques Allemandes sont nombreuses mais de faibles envergures et ont toutes été contenues.
Le village de Tilly-sur-Seulles est un verrou vers le Sud, il est fermement tenu par le Panzer Lehr Regiment 901. Des concentrations de blindées de la Lehr font craindre une contre-attaque massive. Ces dernières subissent d’importants bombardements et tirs d’artillerie.
La météo s’améliorant, l’aviation de bombardement et d’assaut peuvent reprendre pleinement leur tâche. Sous le harcèlement incessant de l’aviation Alliée, les Allemands ne se déplacent principalement que de nuit. Les missions s'enchainent depuis l'aube. Les appareils de retour sont tout juste reconditionnés, que déjà ils repartent pour de nouvelles missions.
A bientôt